Autres personnages Simplified Revision Notes for A-Level AQA French
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Autres personnages
Axelle Vernoux et Léa Germain
Axelle Vernoux et Léa Germain ont deux ans de plus que Lou.
Elles sont décrites comme des filles à la mode et populaires.
Lou les envie, affirmant que la vie serait plus simple si elle était comme elles : « Ce serait plus facile si j'étais comme elles » [P126].
Au début du roman, elles incarnent le sentiment d'exclusion de Lou :
Elles se moquent de son intelligence : « Le cerveau pris en faute. Axelle Vernoux et Léa Germain pouffent en silence derrière leurs mains » [P11].
Elles l'ignorent parce qu'elle n'a pas assisté à leur fête : « Elles ne m'ont pas parlé depuis la fête de Léa Germain » [P35].
À mesure que Lou gagne en confiance, leur attitude envers elle évolue :
La réussite de l'exposé de Lou lui vaut les applaudissements de toute la classe, y compris ceux d'Axelle et Léa : « Ils applaudissent, même Léa Germain et Axelle Vernoux » [P122].
Lou défend Axelle lorsque Monsieur Marin l'humilie pour sa nouvelle coiffure. Lou est renvoyée de la classe, mais Axelle la remercie ensuite : « Merci » [P127].
L'amitié de Lucas change la dynamique :
Axelle et Léa accordent davantage de respect à Lou lorsqu'elles réalisent qu'elle est proche de Lucas, qui est à la fois populaire et séduisant [P122].
À la fin du roman :
Elles invitent Lou à leur prochaine fête, et cette fois-ci, elle promet d'y aller : « Elles m'invitent à la fête et cette fois-ci, je dis oui » [P248].
→ À travers ses interactions avec Axelle et Léa, on comprend que Lou développe une confiance en elle croissante et s'intègre progressivement à son groupe de pairs.
La femme du kiosque à journaux
La dame rousse du kiosque à journaux joue un rôle mineur mais significatif :
Elle est gentille avec No, lui offrant des bonbons et des biscuits [P25].
Cependant, elle est aussi méfiante et met Lou en garde : « C'est une fille de la rue, une fille qui vit dans un autre monde » [P74].
Cet avertissement contraste avec l'idéalisme de Lou :
Lou refuse d'abandonner No malgré les conseils reçus.
Cela met en évidence sa détermination à combler le fossé entre son monde et celui de No.
→ La femme symbolise la prudence de la société face aux sans-abris, un contraste marqué avec la perspective pleine d'espoir de Lou.
Madame Cortanze
Madame Cortanze est la psychologue de Lou :
Elle décrit Lou comme étant « intellectuellement précoce » (surdouée) [P36].
Elle la compare à une voiture haute performance, une métaphore que Lou utilise tout au long du roman.
Le sentiment de Lou d'être une "machine défectueuse" découle de cette comparaison :
« Une erreur de fabrication » [P77].
« Un court-circuit » [P124].
Lou utilise souvent des métaphores mécaniques de façon humoristique :
Elle rêve d'une fonction de téléportation pour éviter les situations gênantes :
« Si seulement j'étais équipée d'une fonction téléportation-immédiate-vers-dix-minutes-plus-tard » [P71].
« Si j'étais équipée d'une fonction retour vers dix minutes plus tôt » [P127].
→ Le personnage de Madame Cortanze renforce le thème de l'unicité de Lou et sa difficulté à s'adapter aux normes sociales.
Tante Yvonne et Tante Sylvie
Tante Sylvie :
Alors qu'Anouk souffre de dépression, Tante Sylvie la critique publiquement.
Le sens aigu de la justice de Lou la pousse à défendre sa mère par une remarque cinglante : « Moi, je n'aime pas qu'on s'attaque à des gens sans défense » [P84].
→ Ce moment souligne le côté protecteur de Lou et sa volonté de défendre les plus vulnérables.
Tante Yvonne :
Mariée à un aristocrate, elle attend de Lou un comportement irréprochable lorsqu'elle lui rend visite.
Lou se ridiculise involontairement en disant « c'est dégueulasse » au lieu de « c'est délicieux » [P124].
Cette anecdote devient une source d'amusement pour No et Lou, montrant leur complicité.
Moment clé :
Lorsque le mari de Tante Sylvie la quitte, les Bertignac vont la soutenir. Pendant leur absence, la vie de No commence à se dégrader, marquant un tournant dans l'histoire.
→ Ces personnages apportent à la fois de l'humour et du pathos, soulignant la fragilité de la situation de No et la nature protectrice de Lou.
Les sans-abris
Le roman présente plusieurs sans-abris :
Momo, Roger, Michel [P57-58].
Le garçon de la rue de Charenton [P59].
La femme de la rue Oberkampf [P65].
Mouloud [P80-81].
L'histoire de Mouloud :
Des passants lui offrent de la nourriture, des couvertures et des cadeaux à Noël.
À sa mort, ils déposent des fleurs et des bougies autour de sa tente, et un article paraît dans Le Parisien [P81].
Cependant, personne ne lui offre un foyer, ce qui pousse Lou à réfléchir sur les échecs de la société :
« On est capable d'envoyer des fusées dans l'espace mais pas d'héberger des gens dans la rue » [P83].
Lien avec No :
No explique que les sans-abris n'ont pas d'amis : « Dehors, on n'a pas d'amis » [P58].
Vers la fin, Momo rejette No et crache par terre quand elle lui donne un billet de 20 euros.
À cet instant, No est rejetée par les deux mondes :
Celui des sans-abris.
Le monde conventionnel des Bertignac [P200-201].
→ Ces personnages humanisent la crise des sans-abris et mettent en évidence l'isolement de No.
Suzanne Pivet
Suzanne Pivet est la mère de No :
Violée à 15 ans, elle a rejeté No dès sa naissance [P131-133].
Après la mort de sa grand-mère, Suzanne a été forcée de reprendre No, mais l'a traitée avec cruauté.
L'absence d'un foyer stable a marqué No :
Placée en famille d'accueil à 12 ans, elle a quitté l'école sans diplôme à 15 ans.
Moment clé :
Lorsque No va voir sa mère à Ivry, cette dernière refuse de lui ouvrir.
Effondrée, No s'assoit par terre, tremblante [P167-168].
→ Suzanne symbolise les racines du traumatisme de No et son incapacité à construire des relations stables.
Madame Ribéry
Madame Ribéry enseigne le français, la matière préférée de Lou.
Lou l'adore : « Madame Ribéry, je l'adore » [P139].
Par respect pour Lou, Lucas évite de se comporter mal dans sa classe : « Lucas ne fait rien pour la faire enrager » [P139, P155].
→ Madame Ribéry met en avant l'amour de Lou pour la langue française, ce qui donne crédibilité à sa narration sophistiquée.
Thaïs
Thaïs, la petite sœur de Lou, meurt subitement en bas âge.
Sa mort déclenche la dépression d'Anouk et l'isolement de Lou.
Humour noir :
Lou commente : « Parfois je me dis que Thaïs aussi devait être intellectuellement précoce » [P53].
→ Thaïs est essentielle pour comprendre les difficultés familiales et l'isolement de Lou.
Loïc
No prétend être amoureuse de Loïc, un garçon en Irlande.
Vérité révélée :
Geneviève informe Lou que Loïc n'a jamais écrit à No [P247].
→ Cela montre la tendance de No à idéaliser ses relations, contraste avec la réalité dure de sa vie.
Geneviève
Geneviève, une ancienne amie de No, révèle des vérités difficiles :
No n'a rien fait pour améliorer sa situation.
Loïc n'a jamais tenu sa promesse.
→ Geneviève reflète la réalité brutale de la vie de No.
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