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Paper 2- Writing Simplified Revision Notes

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Paper 2- Writing

Les cités et Les banlieues

  • Un endroit où règne la violence et la délinquance, où le téléspectateur est témoin des confrontations entre les jeunes et la police.
  • Un environnement délabré et insalubre, mis en contraste avec les scènes dans l'appartement luxueux et la galerie d'art.
  • Un paysage triste, où les HLM offrent peu d'intimité aux habitants, créant une situation de promiscuité.
  • On observe une grande destruction et des dégâts : voitures brûlées, graffitis sur les murs, débris éparpillés, et des enfants jouant autour des véhicules incendiés, reflétant la pauvreté des habitants des banlieues.
  • Les jeunes sont enfermés dans un cycle de violence, incapables d'échapper à leur environnement dans les banlieues.

Les techniques :

  • Séquences longues, grands angles et plans panoramiques : Ces techniques servent à montrer les personnages dans leur environnement et à les intégrer pleinement à leurs alentours. Le réalisme :

    • Les séquences longues dépeignent la réalité de leur vie quotidienne, nous plongeant dans leur ennui et leur inactivité. Nous les voyons raconter des blagues inutiles, fumer, rester assis, attendant que quelque chose se passe. Cela accentue leur lassitude.

    • Ce sentiment est renforcé par « le syndrome du porche », comme l'explique Kassovitz. Un manque d'activités :

    • Il n'y a ni parcs, ni centres sportifs, ni aucune autre activité où les jeunes pourraient s'amuser.

    • Les jeunes ne vont pas à l'école, ils n'ont rien à faire et s'ennuient à cause de cette inactivité constante.

    • « J'en ai marre de cette cité, j'en ai marre. Il faut que je parte. »

Le personnage d'Hubert :

  • Hubert aspire à suivre le droit chemin et à améliorer sa vie.
  • Il comprend que les banlieues projettent une image négative et ont une influence néfaste.
  • Il se sent oppressé et piégé dans la cité, ce qui le pousse à vouloir échapper à cet environnement.

La scène sur les toits -La police, Notre Dame

L'amitié

  • Il existe un véritable sens de communauté, où les toits deviennent un lieu convivial pour les jeunes de différents âges et origines diverses.
  • Lorsque la police intervient, ils se regroupent et se défendent, unis par une même haine envers la police.

La langue

Le verlan :

  • Il met en évidence la différence entre les banlieusards et les Parisiens, tout en reflétant la réalité des banlieues à travers un registre grossier et cru, caractérisé par l'utilisation de gros mots.
  • Ce langage contribue à l'identité des banlieusards, qui se retrouvent pris au piège entre deux cultures différentes et exclus de la société dominante.
  • Un manque de respect :
    • Saïd parle des femmes de manière dégradante, reflétant des relations péjoratives et un regard négatif envers elles.

La scène de la poursuite

  • Cette scène met en évidence le conflit territorial, car les jeunes considèrent cet espace comme leur territoire. Ils connaissent parfaitement les directions à prendre pour échapper aux CRS et où se diriger pour se mettre en sécurité.
  • Hubert intervient lorsqu'il voit que Vinz essaie de tuer l'un des policiers.

Des aspects positifs

  • Les jeunes se sentent chez eux dans leur territoire.
  • À Paris, les scènes se déroulent presque toujours à l'intérieur, créant une ambiance oppressante, alors que les plans panoramiques des banlieues offrent un sentiment de liberté.
  • Les jeunes partagent une même façon de parler et portent des vêtements similaires, comme des survêtements, ce qui renforce leur sentiment d'appartenance.
  • Après les tensions vécues à Paris, les banlieues semblent leur offrir un sentiment de sécurité.

L'identité

  • Les jeunes sont engagés dans une lutte interne contre leurs multiples identités : en tant qu'enfants de parents d'origines différentes, en tant que banlieusards plutôt que Parisiens, et en tant que membres d'un groupe collectif de gangsters.
  • L'identité est une des causes majeures de la fracture sociale dans les banlieues. Les jeunes réagissent contre la société car ils ne savent pas où ils appartiennent.
    • Ils se sentent différents de leurs parents d'origine étrangère, mais également différents des jeunes ayant des parents français.
    • Cela les amène à se sentir exclus et marginalisés.
  • Les jeunes ne peuvent pas échapper à leur identité de banlieusards, qui semble les définir et les emprisonner.

L'identité du groupe

Ses propres problèmes

  • « Je suis de la rue moi, et tu sais ce qu'elle m'a appris... si tu donnes ta joue, tu t'fais niquer ta mère. »
  • Ils pensent qu'en agissant de cette manière, presque comme des animaux, c'est leur seul moyen d'échapper à cette jungle quotidienne.
  • La loi du plus fort prédomine, et la violence devient leur seule méthode pour gagner du respect. Ils se retrouvent piégés dans un cercle vicieux de violence.

Ses propres codes

« Nique sa mère au maire, fils de pute, j'baise ta grand-mère. »

La langue :

  • Ils utilisent des gros mots pour se sentir plus puissants et plus forts, pour imposer du respect et intimider les autres. Ce registre contribue souvent à alimenter la violence. La tenue :

  • Leur style vestimentaire, leur langage et leur appartenance au groupe forment une part importante de leur identité.

  • Ils portent des bas de survêtement, des baskets, un style décontracté (casual), des pulls à capuche (hoodies) ou des blousons en cuir (leather jackets).

L'identité individuelle des trois personnages

Leur caractère

  • Vinz aspire à ressembler à un gangster ; il est un juif blanc.
  • Hubert se présente comme un boxeur, catholique et noir.
  • Saïd, quant à lui, apparaît comme le blagueur, celui qui ne prend rien au sérieux, et il est d'origine maghrébine.

La race / le racisme

  • « Un Arabe dans un commissariat il ne tient plus d'une heure. »
  • « Tu veux être le prochain rebeu à te faire fumer dans un commissariat. »
  • En raison de son identité maghrébine, Saïd fait face à la discrimination. Ses répliques à l'hôpital sont particulièrement marquantes.
  • Dans la scène de l'interrogatoire, on entend : « Dans ton pays, on ramasse avec les pieds. » (adressé à Hubert), ce qui met en lumière la haine raciale, même au sein des forces de l'ordre.

Ce sentiment d'appartenance

  • Ce sentiment d'appartenance offre aux jeunes une raison d'être, mais il engendre également de la violence.

L'identité des banlieues contre les Parisiens

Les codes de conduite

  • Les banlieues se distinguent nettement de Paris, la cité apparaissant comme un monde à part avec ses propres problèmes et ses propres codes (comme mentionné précédemment).

L'environnement

  • L'environnement des banlieues est marqué par un état délabré, insalubre et destructeur, ce qui contraste fortement avec l'image de l'appartement d'Astérix, qui est luxueux, moderne et spacieux.

Les femmes

La mère d'Hubert / La grand-mère de Vinz / La galerie d'art

  • Les femmes des banlieues : Elles sont passives, consacrées aux tâches domestiques comme cuisiner, tricoter ou faire de la couture. Elles jouent avant tout des rôles traditionnels de sœurs ou de mères.
  • Les femmes à Paris : Elles sont indépendantes, émancipées, éduquées, mûres, et occupent des positions sociales importantes.

La jeunesse (troublée)

  • Kassovitz cherche à illustrer la vie dans les cités à travers un groupe spécifique : les jeunes.
  • Il veut dépeindre une jeunesse de banlieue perdue, frustrée et irrespectueuse.
  • La seule manière pour eux de s'affirmer est de recourir à la violence et à l'agression. Préoccupés par la pauvreté et les drogues, ils sont incapables d'imaginer un autre mode de vie et ne parviennent pas à se contrôler.

Le manque de modèles masculins

(Le seul modèle semble être Nordine)

  • Les jeunes doivent se protéger eux-mêmes et leurs familles, comme Hubert le fait.
  • Sans modèle disciplinaire, ils deviennent violents, agressifs, et incapables de se contrôler.
  • Ils agissent de manière maladroite, ne connaissant pas les règles de la société.

La scène avec les journalistes

  • « On n'est pas à Thoiry » :
    • Les journalistes ne descendent pas de leur voiture, renforçant l'idée que les jeunes sont perçus comme des animaux. Cette image est amplifiée par la violence des trois jeunes.
  • Les jeunes s'ennuient, reflétant l'inactivité des banlieues, qui apparaissent comme un lieu d'oisiveté.
  • On observe également une agression mutuelle entre les médias et les jeunes. Vinz insulte les journalistes, et les jeunes sont troublés par leurs questions, comme s'ils avaient « brûlé des voitures ».
  • Le seul moyen de communication pour les jeunes est la violence et le conflit, symbolisé par le lancer de cailloux.

La scène où Vinz montre son arme

  • Vinz déclare être « en mission » pour « rétablir la balance » et affirme que « avec un truc comme ça, t'es le Boss dans la cité. »
  • Cependant, Hubert souligne que « la haine attire la haine. »
  • Vinz est un jeune troublé qui cherche à réagir et se rêve gangster. Il veut agir contre la police, frustré et incapable de communiquer autrement qu'à travers le conflit et la revanche : il prévoit de tirer sur un policier si Abdel meurt.
  • Il agit avec confiance et se sent supérieur lorsqu'il tient l'arme.
  • En revanche, Hubert est plus mature et réfléchi. Il comprend les conséquences du cycle de violence alimenté par la haine mutuelle.

La scène à l'hôpital

  • « Sors ton flingue ! » - Vinz
  • « Connard ! » - Vinz
  • « On bouge pas ! » - Saïd
  • « Il ne fait que son boulot. » - Samir
  • La tension entre la police et les jeunes dégénère rapidement, même lorsque le policier agit de manière sympathique.
  • Vinz fait preuve de beaucoup d'agression, provocant le policier à tirer et utilisant des gros mots.
  • Hubert tente de calmer Vinz, mais Saïd réagit également avec agressivité, bien que le policier ne fasse que son travail.

Les aspects positifs

  • Vinz montre du respect pour sa grand-mère, tout comme Saïd respecte sa sœur, et Hubert sa mère. Ils veulent tous les protéger.
  • Hubert, malgré son image de boxeur et de dealer de drogue, est un pacifiste. Il est attentif aux besoins de sa famille, aidant sa mère à payer les factures, et il fait de son mieux pour calmer Vinz.

La violence et l'agressivité

Les images d'archives

  • Le film s'inspire de faits réels, notamment la mort accidentelle de Makomé, un jeune homme originaire du Zaïre, à la suite d'une bavure policière.
  • Les jeunes affichent une grande confiance en insultant la police, mais lorsqu'elle patrouille, ils baissent les yeux.

La scène du miroir

  • « C'est à moi que tu parles ? »
    • Vinz aspire à être un caïd, un gangster, imitant un rôle tiré d'un film d'action américain. Cette réplique provient du film Taxi Driver et reflète son obsession pour le pistolet, mettant en lumière son côté agressif.

La scène sur les toits

  • Les jeunes jettent des cailloux, illustrant la tension constante entre eux et la police.
  • Ils insultent également le maire et montrent qu'ils ne craignent pas les policiers, continuant à les insulter malgré leur présence.
  • Finalement, c'est Nordine qui ordonne aux autres de descendre.

La scène avec les skinheads

  • « Tu crois que j'ai que de la gueule ? »
    • Hubert et Saïd sont violemment agressés par des skinheads, et Vinz arrive avec son arme. Les trois jeunes se vengent sur l'un des skinheads, le battant avec beaucoup de brutalité et d'agression.
    • Vinz pointe son pistolet sur lui, prêt à tirer, ce qui intensifie la tension. Hubert l'encourage à tirer, sachant pertinemment que Vinz n'en est pas capable, bien qu'il affiche une attitude confiante et violente.

La galerie d'art

  • Cette scène met en évidence la différence comportementale entre les banlieusards et les Parisiens.
  • Les jeunes se comportent maladroitement, ne connaissant pas les règles de bonne conduite.
  • Ils se moquent de deux femmes, avec Saïd en particulier manquant de respect, ce qui fait dégénérer la situation rapidement.

La police

Le film inspiré de faits réels

  • Le film s'inspire de la mort accidentelle de Makomé M'Bowole, victime d'une bavure policière.
  • Kassovitz le décrit comme « un film contre les flics », cherchant à dénoncer un système judiciaire qui conditionne la police à agir avec violence et racisme.
  • Il met en lumière un cercle vicieux : « Les jeunes insultent les flics qui insultent les jeunes. »

Représentation négative de la police

Les images d'archives

  • « Assassins... Vous tirez, c'est facile, nous on n'a pas d'armes, on a que des cailloux. »
  • La violence entre les habitants et la police est mise en évidence :
    • Les policiers, alignés dans la rue avec casques et boucliers, sont confrontés à des jeunes jetant des cailloux et des cocktails Molotov.
    • On voit les dégâts : des voitures brûlées, des magasins saccagés, le chaos et la violence. Des personnes gravement battues sont réanimées.
  • Ces scènes illustrent une fracture énorme entre la police et les jeunes de la banlieue, provoquant des ravages et du pandémonium.

La scène de l'interrogatoire

  • En plan semi-rapproché, cette scène renforce le message de Kassovitz :
    • « Saïd, c'est français ça ? »
    • « Dans ton pays, on ramasse avec les pieds. »
    • « Racailles ! »
    • « Fils de pute. »
    • « Il m'excite. »
    • « On dirait une gonzesse, de dos ! »
  • Deux policiers prennent plaisir à molester et humilier Hubert et Saïd, tandis qu'un jeune policier stagiaire observe avec désapprobation et dégoût.
  • Ils utilisent des méthodes proches de la torture, comme « le Shanghai Squeeze. »
  • Cette scène expose la corruption au sein de la police, qui abuse verbalement et physiquement des jeunes, montrant une haine raciale évidente. Les insultes et les humiliations se poursuivent jusqu'à ce que Saïd éclate en sanglots.
  • Kassovitz fait ici une référence directe aux bavures policières qu'il cherche à dénoncer.

La fin du film

  • Avec un gros plan sur Notre-Dame, la fin réitère le message principal de Kassovitz : la dénonciation des bavures policières et le cercle vicieux de la violence.

Représentation positive de la police

La scène à l'hôpital

  • Le policier se montre sympathique et calme avec les trois jeunes, leur demandant doucement de quitter l'hôpital. Cependant, malgré ses bonnes intentions, la situation dégénère.

Samir

  • « La majorité des flics ne sont pas là pour vous taper. Ils sont là pour vous protéger. »
  • Samir est une source d'aide et de guidance pour les jeunes :
    • Il empêche Hubert et Vinz d'être arrêtés par la police à l'hôpital.
    • Il aide Hubert à soumettre une demande de subventions pour son gymnase.
    • Il conduit les jeunes au commissariat pour récupérer Saïd, qui a été incarcéré.
  • Samir tente de montrer aux trois jeunes le droit chemin, mais la réplique d'Hubert reste frappante :
    • « Et qui nous protège de vous ? »

À Paris

  • Saïd est surpris lorsque les policiers parisiens le vouvoient « Comment ils sont polis les keufs ici, carrément il m'a dit 'vous' et tout ! »

  • Cette remarque révèle qu'il existe des policiers respectueux et bienveillants, mais l'attitude choquée de Saïd souligne à quel point les policiers des banlieues sont beaucoup plus oppressifs. Il n'est pas habitué à être traité de manière respectueuse par la police.

La délinquance

  • Les jeunes sont fréquemment montrés en train d'enfreindre la loi, que ce soit en trafiquant de la drogue, en insultant la police, ou en participant au marché noir.
  • Leur environnement encourage cette délinquance : l'inactivité, le besoin d'argent, et l'absence de perspectives.

Les cages d'escaliers

  • Elles deviennent des lieux de rendez-vous, où la drogue apparaît comme la seule échappatoire temporaire, mais aussi comme un moyen de gagner de l'argent pour survivre.

Darty

  • Il met en lumière le marché noir et les diverses activités auxquelles les banlieusards se livrent pour subvenir à leurs besoins.

Le syndrome du porche

  • Comme l'explique Kassovitz, le « syndrome du porche » reflète l'inactivité et le sentiment de stagnation dans les banlieues.
  • « Le monde est à nous » : cette phrase, écrite en graffiti par Saïd, est ironique et représente un rêve inaccessible, témoignant de leur exclusion.

L'oisiveté des jeunes

  • Les jeunes passent leur temps à ne rien faire, souvent assis, fumant, ou errant sans but.
  • Il n'y a ni centres sportifs ni activités pour les occuper, ce qui les pousse, par ennui, à commettre des délits ou à consommer de la drogue comme échappatoire temporaire.

Hubert

  • « La haine attire la haine. »
  • Hubert est contraint de commettre des délits pour payer les factures de sa mère.
  • Il n'a pas d'autre option, son environnement le réduisant à choisir entre le vol ou le marché noir.
  • Piégé dans un cercle vicieux, on comprend à la fin du film qu'il ne pourra jamais échapper aux banlieues, malgré son désir de changer de vie.
  • Il est pleinement conscient de l'image négative des banlieues et de leur influence destructrice.

Vinz

Le rebelle, le gangster, le vantard

  • Agressif, violent, se sent supérieur, le chef du groupe, un gangster, un frimeur (show-off).
  • Rigolo, arrogant, impétueux (impulsive), impulsif, grossier, malpoli.
  • Respectueux envers sa grand-mère.
  • Rêveur : il aspire à devenir un caïd, un gangster.

Hubert

Le réfléchi, le réaliste, le délinquant, mûr

  • Calme, réfléchi, et posé (il réfléchit avant d'agir).
  • Peut aussi être violent et agressif (notamment envers les journalistes ou les CRS).
  • Réaliste : il comprend l'influence négative des banlieues sur les jeunes et veut changer de vie.
  • Pacifiste, attentionné envers sa mère, et protecteur de sa famille.
  • Coincé dans un environnement où il n'y a rien à faire, il s'implique dans le trafic de drogues, et voit les jeunes sombrer dans la violence et la consommation de joints.

Saïd

Le rigolo, le petit frère

  • Rigolo du groupe, blagueur, immature, et misogyne.
  • Impoli, agressif, impétueux, et macho envers les femmes. Il adopte une image péjorative et irrespectueuse à leur égard.
  • Jeune, protecteur envers sa famille, il frime et crâne souvent.
  • Arrogant et malpoli, il joue parfois le médiateur entre Hubert et Vinz, les suivant et tentant de raisonner Vinz.

Abdel

  • Bien qu'il n'apparaisse jamais physiquement, Abdel est omniprésent dans l'histoire, représentant les conséquences de la brutalité policière.
  • Tout au long du film, l'inquiétude tourne autour de sa survie et de la possibilité que Vinz tue un policier en cas de décès d'Abdel.
  • Il est un symbole des inconduites policières.

La mère d'Hubert

  • Très stéréotypée, elle est représentée comme une femme au foyer, occupée à des tâches ménagères : cuisine, couture, nettoyage.
  • Elle est enceinte, et on apprend que l'un de ses autres fils est en prison.
  • Elle reçoit de l'aide d'Hubert, notamment pour payer les factures.

Nordine

  • Autoritaire, strict, et supérieur, il est respecté par les jeunes pour son autorité.
  • Mûr, calme, et capable de recourir à la violence pour protéger les jeunes.
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